On a beau faire tous les efforts de recherche possible, consulter les Archives nationales, ou départementales aux quatre coins du pays, celles des Mairies ou des Paroisses, il arrive que l’on soit confronté à des difficultés quasi insurmontables pour retrouver nos actes…
Je n’en veux pour exemple que cet en-tête de registre, daté du II (2) Fevrier 1724, ou le brave Curé nous explique :
« Les originaux extraits quoi qu’en papier mort, sont très véritables, ils ont été rongés par un chien, et tirés de l’original »
Cela s’appelle « tomber sur un os »…
(Merci à Chantal S. de la liste Généalogie-Gironde qui a découvert cette petite perle !)