Comme j’avais abordé le sujet des « galères vaccinales » dans un précédent article, je me dois d’informer aujourd’hui mes aimables lecteurs que nous allons bientôt y avoir droit, à ce foutu vaccin ! 😜
Nous avons en effet été prévenus par la voix d’une charmante opératrice que notre tour est enfin venu et que jeudi prochain, on nous posera la banderille 💉 vaccinale tant attendue !
A suivre donc et pour rester dans l’atmosphère médicale je vous propose un petit extrait du bulletin jazzistique de ce jour, reçu il y a quelques minutes de mon ami Jean-Michel C.
lundi 08 mars 2021
Jon Batiste.
Jazz is still aliveLes familles musicales de la Nouvelle Orléans ont joué pour beaucoup dans l’essor du jazz, & celle des Batiste n’est pas en reste, à tel point qu’on a dit que si on mettait aujourd’hui tous les Batiste dans la rue, on aurait droit à une fantastique fanfare! Jon Batiste (1986) en est un des derniers larrons &, avec son piano, il est devenu en peu de temps une star que tout le monde s’arrache, capable de revisiter l’univers de son instrument comme s’il en était l’inventeur
…/…
je vous concocte une présentation plus orientée de l’art de notre homme avec un thème symbole, véritable cantique de la Cité du Croissant(*), ce célèbre ‘’Saint James Infirmary’’. Il est ici invité du Lincoln Center Jazz Orchestra de Wynton Marsalis, apparemment pas le seul Néo-Orléanais puisqu’on y aperçoit Don Vappie au banjo & Jason Marsalis à la batterie & qu’intervient le chouette contre-chant de la clarinette de Victor Goines, 4’30 de bonheur absolu :
>>>>> https://www.youtube.com/watch?v=UESBGA3pxaQ
Souhaitant que tout cela ne nous conduise pas directement à… l’Infirmerie, je vous donne rendez vous ici même pour de prochaines aventures !
(*) Cité du Croissant : surnom donné à La Nouvelle Orleans en raison de sa forme.
P.S. L’intégralité des chroniques jazzistiques de Jean-Michel, compilées par mes soins, est disponible >>>>>>>>>>>>>>> ICI.
(article mis à jour le 12-04-2021)